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Ma petite vie minuscule
29 septembre 2013

Une autre histoire!

Lou Lemai avait adoré mon autre histoire, je lui avait promi! La voici! Je vous la posterai par petit bout mais je n'ai pas de titre pour l'instant si vous avez des idées n'hésitez pas!

 

 

Cette nuit, personne ne dort. Moi, petit soldat de la république, j'assure le hutième tour de garde.Grrr! Si je n'avais pas perdu au dès, je n'en serai pas là!

Mais je sais que ce salaupiaud de Jack ne dort pas lui non plus.

Car il sait. Comme tout le monde le sait d'ailleurs.

Le chef l'a fait, il c'est barré. Où?

Nulle part.

Il c'est barré c'est tout!

Et le grand chef va nous envoyé le pire qui soit. Son bras droit.

-Hey! Steven! Sonne l'alerte, les rebelles attaques le camp!

C'est Marc mon meilleur ami, seul allié dans cette guerre. Mais ce n'est pas une plaisenterie. Son visage d'ordinaire rieur est fermé. Son regard bleu se teint d'une certaine terreur. Alors, j'attrape le clairon et le sonne.

 

 

 

Merci de commenter, je ne vous en mets pas plus, je n'ai pas le temps, j'y vais!

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28 septembre 2013

Iron

De Woodkid Vous connaissez Iron? NON?! Vous connaissez pas?! Ecoutez moi ça mes cocos (je peux vous appellez mes cocos non?!)!

28 septembre 2013

Les écrivains y sont où?!

Je sais pas vous mais moi, suis une écrivaine, OUI MADAME! Ma passion c'est l'écriture. J'adore ça! J'écris des nouvelles, des poésies et des romans!

En voilà un que j'ai abandonné:

 

Les fleurs de l’eau.

Prologue

Ce jour-là, Lucie lisait lorsque ces parents disparurent.

La jeune fille blonde de quatorze ans était effaré devant ce qui venait de ce passé sous ses yeux. Elle était outré de ne rien avoir pu faire. Elle d’ordinaire si courageuse, tremblait de peur. Elle savait qu’elle ne pouvait ni ne pourrait rien faire. Elle était morte de peur. Ses parents avaient disparu alors qu’elle était en train de leur lire le livre qu’il venait de lui acheter. Elle leur lisait. Le passants avaient le regard passant d’elle à ses parents et de ses parents à elle. Puis leurs yeux ne pouvaient pas-ou plutôt plus- regarder ses parents. Car ils n’y en avaient plus. Une femme se laissa s’affaisser. Une autre tomba dans les pommes. Lucie décida que c’était le bon moment pour céder à la panique. Elle hurla. Un long cri strident qui déchira le jour et qui sortit un chat noir de son sommeil. Ce détail, Lucie s’en souviendrait toute sa vie. Pourquoi ? C’est souvent les détails qui marquent le plus lui avait un jour expliqué sa mère. La jeune fille croisa le regard du félin. Ce regard, on aurait dit qu’il était plein de tristesse et de compréhension pour l’adolescente  mais, aussi de la haine envers cette même personne qui l’avait tiré de son sommeil.

Un homme, le plus courageux de tous, avait téléphoné aux pompiers et avait expliqué que Mr et Mme Ficoulau avait disparu.

Plusieurs heures après la ville entière était alertée. Les Ficoulau étaient des gens bien. Ils possédaient une maison d’édition et avaient donné à leur fille l’envie de faire écrivain. Comment ? Ils avaient rencontré JK Rowling et elle était devenue acro au petit cahier sur lesquels elle écrivait des histoires. Là, si elle n’avait pas été aussi paniquée elle aurait sorti son petit cahier et aurait écrit tout ce qu’elle venait de voir, l’aurait envoyé à une maison d’édition et la jeune fille se serait retrouvé à planifié ses tournées d’autographes. Mais à ce moment ci, elle ne pouvait plus bouger et était comme pétrifié. Elle continuait de hurler. Alors, elle  vit que à l’endroit où se trouvait ses parents quelques minutes plutôt, il y avait, à la place, un chapeau avec une plume de geai et une cape de soie. Lucie les attrapa et courut se réfugia dans leur grande maison et se mit à pleurer, pleurer et puis elle se sentit vidée. Elle hurla, des jours entiers, s’arracha les cheveux et cassa beaucoup de vase, assiettes et verres. La maison fut ravagée et les rideaux arrachés. Lucie crut qu’elle ne se remettrait jamais de cette horreur. Elle continuait à lire croyant apercevoir entre les lettres le couple qui avait disparu lors de sa lecture. Ses parents hantaient ses rêves les plus fous et elle était folle de rage de n’avoir rien pu faire pour les sauver. Elle estimait désormais que s’était de sa faute si ses géniteurs avaient disparu et elle culpabilisait de plus en plus.

 

 

 

 

1

3 ans plus tard

Cher Journal,

Aujourd’hui, c’est la rentrée. Je vais retrouver mais amis Charlène et Lukas. Aujourd’hui, je rentre en terminale. Comme j’ai sauté un classe, j’ai un an d’avance et suis la plus petite de ma classe. Aujourd’hui, c’est aussi l’anniversaire de disparition de mes parents. Trois ans déjà qu’ils ont disparu et que je suis sous la tutelle des Crapente. C’était des « amis »  mes parents. En fait, il voulait juste récupéré tous leurs biens. Raah ! Je les déteste ! Il me traite comme leur boniche quand je suis seule avec eux ! Bon cher journal je dois y aller pour ne pas être en retard. Salut !

Lucie se jeta du bas du lit. Elle attrapa son cartable et sortit. Elle se mit à courir dans la rue et se retrouva devant une silhouette blonde. La personne se retourna, et Lucie  fut submergée par la joie.

-Lucie !

-Lukas !

Le jeune homme blonds aux yeux bleus reconnut son amie et s’écria :

-Charlène ! Viens voir qui est là !

Une jeune fille châtain se présenta à Lucie et ses yeux marron luirent de joie.

-Si vous saviez comme vous m’avez manquez ! murmura Lucie tant elle était émue. Un été chez les Crapente c’est horrible !

-Oui et moi je me suis ennuyée comme un rat mort chez mes grands-parents.

-Moi j’ai passé mon temps à faire des petits boulots pour gagner un peu d’argent.

- Bon ce n’est pas tout ça mais je n’aimerai pas ne pas arriver en retard ! Surtout le jour de la rentrée! Mieux vaut être en avance que en retard non ? Alors on y va ?

-Go !!

Les jeunes gens se mirent en route pour arriver avant le délai prescrit (huit heures pile).

-Il est sept heure quarante-cinq !

-Moi, je pense que l’on devrait se remuer un peu…

Les adolescents se dépêchèrent et arrivèrent juste à temps pour entendre la cloche sonner  et le proviseur de leur lycée appeler longuement la liste de répartitions des secondes. Puis vint celle des premières et enfin celle des terminales. 

Le directeur appela :

-Chez les première A il y aura :

Jason Bauchapuit, Mélissa Bocantier, Charlène Biridouin,…

Charlène et les deux autres terminales appeler précédemment ce levèrent et rejoignirent la femme qui allait être leur professeur principale. La liste continua et se fut le tour des « F » d’être appelés.

-Charles Fibilline, Lucie Ficoulau, Lukas Fracontin,…

Les deux jeunes se tapèrent dans la main et se dépêchèrent de rejoindre la fille qui manquait au trio. Bientôt la liste fût terminer et puis le professeur principale les accompagna dans une salle de cours.

-Bonjour. Je me présente je suis le professeur Helena. Je serai votre professeur principal et de français. Je propose de vous présenter tour à tour. Toi, commence.

Elle désignait Lukas de son index. Lukas commença maladroitement.

-Eh bien je me nomme… je me nomme Lu… Lukas…

-Eh bien Lukas, continuez !

-Excusez-moi mais je suis intimidez de commencer… Bon voilà la suite : je me nomme Lukas Fracontin, j’ai dix-huit ans et j’adore les romans de science-fiction et les livres fantaisie. Je pratique la natation.

Toute la classe se présenta ainsi et moi aussi. Pendant ce temps, je regardais en détail cette maitresse et j’ai  pu voir qu’elle était brune, aux yeux verts et qu’elle était assez petite.

-Je vais maintenant vous distribuez votre emploi du temps. Je vous emmènerai ensuite visiter le lycée et puis vous irez chercher vos fournitures dans le bureau de la direction.

Les élèves partirent donc à la queue leu leu. Ils visitèrent mais au bout de quelques instants, Lukas s’ennuya et dit :

-Lucie ?

-Oui Lukas ?

-Tu peux nous raconter notre histoire ?

-D’accord.

Lucie se mit à se concentrer et trouva.

-Bon alors tout commence dans une forêt immense avec des arbres gigantesques et des tapis de fleurs sur le sol. Un trio de jeune personne se baladaient à l’intérieur. Ces personnes se nommaient Lucie, Lukas et Charlène. Elles av…

Quand tout à coup,  un tourbillon les enveloppa et les élèves qui étaient derrière hurlèrent de terreur. Le professeur se retourna juste à temps pour pouvoir découvrir trois de ses élèves s’effacer comme un trait de crayons sur lequel on aurait passé une gomme.

 

Lorsque le tourbillon s’arrêta, ils se retrouvèrent dans une forêt.

-Ben ça alors ! s’exclama Lucie, c’est exactement comme ça que j’imaginais la forêt dont je vous parlais et la même que celle du livre que je lisais quand mais parents ont disparu…

-Comment ? Mais on est dans ton imagination alors?

-Exactement.

Soudain, un cri perça le silence et résonna :

-Oh ! Lucie ! Non !

Puis, dans un bruissement de feuilles, une douzaine de soldats ce jeta sur eux, les assomma avec violence mais auparavant qu’ils tombent dans l’inconscience, ils virent un homme et une femme en larmes, à l’air triste et coupable et deux soldats, un sur chacun qui leur mettait la main sur la bouche pour les faire taire. Lucie vit qu’il ressemblait à c’est parents avant de se réprimer sur ce fait car ils avaient disparu et étaient sûrement  morts.

 

Quand ils se réveillèrent ils étaient dans une prison grossière sans fenêtres et dont la porte était en bois. Sur cette porte il y avait un trou minuscule avec des barreaux par lesquels on pouvait voir le seul garde qui faisait les cent pas devant la porte.

-Où sommes-nous ? demanda Lukas sans en vouloir la réponse.

-Vous êtes dans une des nombreuses prisons de l’empire du grand Piton Flamme, le maitre et tyran du pays, répondit une voix.

-Qui êtes-vous ? Questionna Lucie

-Nous sommes tes parents…, répondit une femme.

Lucie sauta au cou de sa mère et de son père :                       -Papa, maman !! Puis en s’adressant à Lukas et Charlène ; je vous présente Caroline et Jack Ficoulau.

Jack avait de beaux yeux bruns  était mat et les cheveux noirs grand et il était petit mais en revanche il était téméraire  tandis que Caroline Ficoulau était brune, très grande et possédait de magnifique yeux verts et était très timide.

Puis Lukas rompit enfin le silence :

-Pourquoi avons-nous était capturé ?

-Ce n’est que car Lucie était avec vous, répondit Caroline.

-Mais,  pourquoi vouloir la capturer elle ?

-C’est de notre faute, expliqua Jack. Car les soldats  nous ont demandé ce que l’on faisait ici et qui on était alors, nous avons dit que nous ne savions pas et puis ils nous ont enfermés ici…

Mais Lucie n’écoutait plus et murmura quelques mots sans en comprendre la signification, puisqu’elle regardait dehors elle vit à la fin de sa phrase qu’un petit chat avec des cornes. Le garde semblait le confondre avec un autre car il beugla

-Quoi, toi ici sale bête !

Puis on entendit que le garde partait à la poursuite de la petite chose. Lorsque Lucie regarda la porte elle s’aperçut que la porte était ouverte. La jeune fille en avertit ses compagnons lesquels se glissèrent dehors, Lucie derrière. Alors elle se fit attraper à l’angle du mur et failli hurler de rage. Mais quelque chose la retint. Une voix lui dit :

-Vite suivez-moi! Au faite, je me présente je m’appelle Eragon.

Eragon était grand avait les cheveux noirs et, avait des yeux marrons et il était aussi très agile.

-Et je vous présente Enzo mon compagnon, poursuivit-il.  Tout le monde sursauta car personne n’avait vu le jeune homme. Enzo possédait des cheveux bruns court et des yeux verts.

Après un instant de réflexion Eragon s’écria :

-Vite fuyons ! Le garde va revenir! Au faite qui a fait apparaitre se chaton cornu ? En tout cas il était parfait car je ne savais pas comment distraire le garde et j’allai y envoyer Enzo mais s’aurai été risqué.

Lucie ne répondit rien mais lorsqu’Eragon croisa son regard, il le sut ; c’était elle, elle n’en savait rien mais lui il le voyait. Elle ignorait encore qui elle était mais pas pour longtemps.

« Oh ! C’est pour bientôt… Oui tu connaîtras ton identité bientôt petite pégasière… Ou du moins FUTURE pégasière »

Il ne savait pas d’où il tenait ces propos et s’interrogeait sur leur provenance et farfouillait au plus profond de son crâne avant de se rendre compte qu’il ne se souvenait pas de ce qu’il avait pensé. Il fut interrompu par des paroles qui s’adressaient à lui :

- Eragon je me demandai pourquoi nous as-tu sauvés ?

C’était Charlène qui avait posé la question. Le jeune homme hésita longtemps avant de répondre si bien que Charlène allait redemander. Mais elle n’en eut pas le temps car il répondit avec une voix qui tremblait :

-Eh bien j’ai moi-même été en prison mais un homme m’a délivré. Il m’a appris comment faire et a continué jusqu’à la fin de sa vie, le pauvre homme. Il est mort d’une jaunisse. Personne n’a pu le sauvé car nous ne connaissions alors pas les herbes qui aurait permis sa guérison et même si s’était le cas nous n’aurions pu les acheter. La prison était toujours vide grâce à lui. Comme il n’était plus là j’ai continué son travail et il n’y a personne dans les prisons ‘‘à cause’’ de nous. Nous n’aimons pas l’empire alors nous lui mettons des bâtons dans les roues et puis… Désolé de dire ça comme ça mais vous aviez l’air d’être une bonne prise pour embêter le roi alors on est assez fiers de nous. Normalement, nous attaquons le convoi qui n’est jamais très bien gardé. Mais avec vous on a dû faire une entorse au ‘‘règlement’’ car vous étiez plus que bien gardez. Voilà vous savez tout en résumé des plus simples.

L’instant d’après la petite troupe se mit à courir car ils avaient entendus des bruits de pas (surement les gardes qui venaient prendre la relève de la surveillance de leurs cellules) et quelques minutes plus tard ils étaient dehors. Ils se mirent alors à suivre Eragon qui leurs dit :

-Suivez-moi !

-Mais où va-t-on ? demanda Lucie

-Nous allons chez Violet-Tulipe ! s’exclama Caroline, je  reconnais le chemin !

-Bien vu Caroline ! s’écria Eragon.

-Vous connaissez ma mère ? Comment ? s’exclama Lucie.

-J’ai connu ta mère quand elle est arrivé ici, avant qu’elle ne se fasse capturer. Et puis j’observai tes parents car il fallait que je connaisse par cœur leur cellule pour les délivrer S’il te plaît appelle-moi «tu ». Oh nous y voilà…chut !

Il frappa chuchota quelque mot et la porte s’ouvrit.

-Un repas pour chacun merci, dit Caroline. Nous sommes sept ; moi, mon mari, ma fille et ses quatre amis.

-Bien madame. Veuillez me suivre.

Ils se retrouvèrent dans une grande salle avec des tables garnies de poulets, de pomme de terre, de couscous, de dinde, d’osso bucco, de tarte aux poireaux : des mets de roi ! Ils s’en régalèrent puis, Lucie dit en s’adressant à Jack :

-Papa je suis désolé mais je n’écoutais pas ton histoire peux-tu la recommencer  s’il te plaît ?

-Oh euh oui donc,… oui c’est vrai ; alors, ils nous ont enfermés puis peu à peu nous nous sommes dit ou plutôt rendu compte que Lucie lisait et, sous peine de mort nous leurs avons révélé ce que nous savions ou que nous avions devinés alors jours et nuits ils sont restés là jusqu’à ce que Lucie et vous arriviez  et comble de malheur par reflexe nous avons criés et ils vous on reconnut et enfermés et vous en savez désormais autant que moi…

-Mais, intervint Enzo qui fit sursauter tout le monde car il c’était fait discret et n’avait pas parlé depuis la libération des jeunes gens, ça n’explique toujours pas pourquoi il voulait la capturer, et pourquoi précisément elle n’est-ce  pas !

-C’est vrai, intervint Lucie pourquoi moi et pas un autre?

-Déjà parce que tu peux transporter la personne de ton choix dans un livre : tu es un pont entre ses mondes et tout faire devenir réalité  à partir d’un texte.

 Dès la fin de la phrase de Jack, Charlène se mit à rapetisser, rapetisser, rapetisser si bien qu’à la fin elle fut aussi petite qu’une graine de citrouille.

-Charlène ? Mais que se passe-t-il ? s’exclama Lukas. Je savais que tu aimais la magie mais tu ne m’avais pas montré ce tour-là !

-Idiot ! C’est mon couscous il était empoissonné ! La magie j’ai laissé tomber la magie après la rencontre de Lucie car je savais que c’était à cause de cela qu’elle avait perdu ses parents alors je l’ai trouvé malsaine, imbécile!  Et je suis certaine que les gens de cette auberge sont avec Piton Flamme.

-Fuyons mais faisons comme si de rien était ! ordonna Jack.

Sur ce il s’en fur le plus vite possible.

-Suivez-moi ; je vous emmène dans ma maison ! s’écria Eragon.

Lucie prit Charlène dans sa main et elle s’en fût très rapidement. Malheureusement  les gardes de Piton Flamme c’étaient fait avertir. Ils barricadaient l’auberge et ne laissaient sortir personne.

Lucie, Charlène, Lukas et Eragon trouvèrent rapidement un moyen de sortir mais Caroline et Jack furent attrapés par deux d’entre eux et se mirent à pleurer de rage.  Lorsque Lucie vu cela elle donna Charlène à Lukas et bondit sur les agresseurs de ses parents et en brandissant le petit poignard au-dessus de sa tête. Deux de ses adversaires moururent. Puis un soldat qui reprit conscience de ce qu’il se passait mit son épée sous la gorge de Caroline et cria :

-Si vous ne vous calmez pas je tue cette femme ! Et je le ferai ne vous inquiété pas ! Sans remord en plus !

Alors Lucie sans réfléchir murmura avec un air calme, comme si elle savait ce qu’elle faisait ce qui n’était pas le cas :

-Raskämistira !

Et l’homme qui avait mis son sabre sous la gorge de Caroline tomba raide mort. Tous les autres se dépêchèrent de prendre la fuite. Et une jeune femme et un jeune homme apparurent. La jeune femme était mat avait de longs cheveux noirs et de beaux yeux marrons. Le jeune homme avait la peau blanche, les yeux marron et les cheveux bruns.

-Argh ! Ils sont partis et vont bien sur le rapporter à leur maitre ! Mer… Mince. Eh bien, excuse-moi de ne pas m’être présenté mademoiselle mais c’est impressionnant  le don si développé  je me présente: Camille. Mais quel âge avez-vous ??

-Eh bien j’ai quatorze ans et je m’appelle Lucie. Et voici Lukas, Eragon, Enzo, Caroline ma mère, Jack mon père et Charlène.

-Quoi ??? Quatorze ans ! Mais c’est impossible !!Mais le don à cet âge ! Et si développé en plus !!! S’étrangla-t-elle, mais qu’est-il arrivé à Charlène ??

-Camille, s’écria le jeune homme, je crois que de l’Impéria à était utilisé !

-Quoi, s’écria Lucie, mais expliquez-nous à la fin !!

-Déjà, dit le jeune homme, je m’appelle Paul. Ensuite l’Impéria est une plante très dangereuse. Elle fait devenir tout petit celui ou celle qui en mange une vingtaine de grain et elle tue qui conque en mange une centaine.

-Mais pourquoi elle, s’exclama Lucie, pourquoi elle et pas moi ??? Je croyais que s’était à moi qu’on en voulait ! Pourquoi elle ??!

-Taisez-vous, s’écria Eragon, vous vous raconterez tous chez moi !!!

 

Sur ceux tous sursautèrent car Eragon ne c’était pas fait entendre depuis vingt minutes. Puis il se mit en marche et tous le suivirent.

-Bon, ben je vous laisse, dit Enzo peu avant leur arrivée.

Quelques secondes plus tard, ils arrivèrent devant un arbre. Tout en-haut, ils distinguaient une petite chaumière qui avait l’air en équilibre. Elle était si haute que personne ne la vit au début. Puis ils commencèrent à se demander pourquoi Eragon les avait fait s’arrêter car la cabane était si loin qu’il était impossible selon eux de monter jusque en haut.

-Nous y voilà, dit timidement Eragon, un peu gêné.

-Hey, mais, t’es tombé sur la tête où quoi comment on monte là-haut ? s’écria Paul.

-Lucie, fit Eragon pour toute réponse, j’ai besoin de toi.

Comme si s’était naturel Lucie s’écria :

-Abenitorosa.

 

Et ils s’envolèrent. Arrivés au-dessus ils se posèrent sur le plancher de la cabane tout en douceur. Ils restèrent quelques instants à observés le paysage magnifique ; de là-haut, ils surplombaient tout : vallées, montagnes, rivières,…

-Bon allons-y.

C’était Enzo qui avait dit cela.

-Mais, s’écria Lucie t’es monté par où?

-Secret défense, dit Enzo amusé.

Alors Eragon ouvrit la porte et les poussa à l’intérieur. Ou plutôt ce qu’il avait cru l’intérieur. Ils basculèrent dans un immense toboggan de trois mètres de large au moins. Au bout de deux minutes de glissades ils atterrirent dans une petite pièce toute renfermée.

-C’est ici Eragon si j’ai compris, dit Lucie en désignant un sombre endroit.

-Oui merci Lucie.

Alors Lucie s’appuya contre le panneau il y eu une détonation et elle disparut. Lou poussa un cri en voyant son mari disparaitre à son tour puis Eragon la poussa et elle disparut à son tour. Lorsque Lukas, Charlène, Camille et Paul furent passé et qu’il n’y eu plus que Enzo et lui, Eragon dit :

-Elle est sacrément perspicace notre Lucie.

-Oui il faut avouer, dit Enzo, c’est la première à trouver le passage et ils disparurent à leur tour pour réapparaitre dans une pièce spacieuse. Devant il y avait trois portes ils prirent la deuxième et entrèrent dans une pièce immense et très lumineuse. Il y avait des dizaines de canapés, des tableaux, des poufs, un grand lustre de cristal et une grande plaque de cuivre.

- Waouh, s’écria Lucie. Magnifique ! Mais, à quoi sert cette plaque de cuivre ?

-Eh
bien, répondit Eragon comme embarrassé, elle sert à savoir si ta puissance est grande et si ton don et fort. Mais installez-vous ! Ici est désormais chez vous.

 

Ils prirent alors place dans les fauteuils en s’installant de leurs mieux.

-Bon alors, Caroline, on lui dit ? Demanda Jack mal à l’aise.

-De quoi ?  Qu’est-ce que vous avez à me dire de ci horrible ? Je ne vais pas mourir dans c’est deux secondes alors c’est quoi ces têtes toutes mornes ?

-Oui, répondit Caroline ignorant la remarque sarcastique de sa fille et en s’adressant à Lucie elle reprit, Lucie on aurait dû te le dire plutôt mais bon, alors en fait euh…Nous…nous ne sommes euh…nous ne sommes pas tes…tes vrais…tes vrais parents…

Aussitôt Lucie se mit à rougir de honte, honte qu’on ne lui est pas annoncé cela plutôt car elle comprenait par cet acte que ses parents adoptifs ne lui faisaient pas confiance. Alors, elle ouvrit la porte d’un coup de pied, se mit à pleurer et disparut par la troisième porte qui donnait sur les chambres et elle hurla de désespoir et de rage criant que de toute façon personne ne lui faisait confiance et qu’elle aurait préféré rester en prison où là au moins elle n’aurait pas était dérangée.

Caroline fondit en larmes et se jeta dans les bras de son mari.

Charlène lâcha un cri et Lukas se mit à la réconforter doucement.

Une heure plus tard Lucie n’était pas réapparut et  le repas  étant près Eragon alla la voir. Il frappa et entra.

-Je suis désolée, murmura-t-elle, je suis nulle, j’embête tout le monde avec mes petits problèmes personnels.

-Lucie, tu n’es  pas nulle du tout ! Tu sais tout le monde a compris… Il ne faut pas t’en faire…

-Merci Eragon. Allons, descendons les autres nous attendent.

Ils descendirent alors manger. Ils se mirent à table Eragon entre Lukas et Enzo et Lucie entre Camille et Paul. Elle prit soin de se renseigner sur ce monde et sur la façon de sauver Charlène :

-Quelles sont vos coutumes, demandait-elle.

-Eh bien, répondait Paul, ici nous vénérons l’empereur sous peine de quoi nous sommes sévèrement puni. Nous lui vouons culte le Slraqua ; c’est une période où la lune clignote.

-Ici la lune clignote ! Super ! s’écria-t-elle. Mais dans ce monde comment vous habillez-vous ?

-Les femmes s’habillent avec une robe et gardent les cheveux attachés et les hommes avec pantalon et tunique. Les trois quart de la population sont les esclaves de Piton Flamme qui s’impose grâce à sa puissance et personne ne peut lui résister car personne n’est uni. Donc si on ne s’uni pas, nous sommes voués à devenir les serviteurs du Tyran de toute façon même si nous étions liés nous ne serions pas assez nombreux ni assez fort.

-Ah… mais comment sauver Charlène ?

-Pour sauver Charlène il faut aller voir le peuple de l’arbre, demander une faveur au roi et lui demander les fleurs de l’eau. Mais c’est très risqué ; ils tuent les intrus.

-Eh bien j’irais même s’il me faut mourir ! Je sors. Je suis désolé mais, il faut que je sois un peu seul maintenant.

Elle sorti et admira longuement le ciel.

-Comme le ciel est beau ici…

Quand soudain, il y eu une petite détonation et une lueur jaune à quelque pas. La jeune fille avança peu rassuré mais avec tout le courage dont elle put faire preuve.  Lucie se rapprocha pour voir ce qui était arrivé. Elle découvrit alors une sphère doré. Elle se mit à scintiller et à se fendre. Lucie poussa un cri car ses pieds quittaient le sol petit à petit. Soudain apparurent Eragon, Enzo et Lukas qui sortaient du tronc de l’arbre qui soutenait la bâtisse de bois.

Ils appelèrent les autres mais, la sphère laissait déjà place à un ravissent petit cheval ailé de couleur doré.

« Bonjour Lucie je suis un pégase. Comment vas-tu m’appeler ? »

« C’est toi qui me parle ? » demanda-t-elle au pégase.

« Oui c’est moi. »

« Alors je te nomme… Mais es-tu une fille ou un garçon ? »

« Une fille. »

« Donc tu es désormais Hibiscus. Cela te convient? »

« Oui, oui. »

-Les amis, dit-elle en s’adressant aux autres, je vous présente Hibiscus.

-Une… une… une… pé…pégasière, balbutia Eragon effaré.

Le pauvre garçon se remémora alors les propos qu’il avait tenu en lui-même à la sortie de la prison et failli tomber dans les pommes

-Une quoi ? demanda Caroline.

-Une pégasière. C’est une personne qui possède un pégase et qui peut entrer en contact avec. Ils protégeaient le royaume avant… commença Camille

-Avant quoi ? Questionna Jack

« Avant le règne sans fin de Piton Flamme, dit calmement Hibiscus. »

Tout le monde sauf Lucie, fût choqué par le contact mental. Un silence de plomb tomba alors sur la petite troupe. Ils se regardèrent avec effroi et certains se dirent qu’ils allaient passer une très mauvaise nuit.

-Bon eh bien nous allons nous coucher, dit timidement Enzo.

-Abenitorosa, dit Lucie.

Ils s’envolèrent, prirent le toboggan, arrivèrent dans leurs chambre, se dirent « Bonne nuit » et Lucie découvrit avec joie qu’elle partageait sa chambre avec Camille et Charlène.

-C’est beau ce monde n’est-ce pas Lucie, demandait Charlène.

-Oui magnifique. Mais les filles je sais qu’il n’y a aucun rapport mais, ça vous dirait que l’on raconte son histoire depuis le début ?

-Oh oui super idée, on en apprendrait plus sur les autres, dit Camille.

-Mais qui commence, demanda Charlène, Moi je vote pour que ce soit Lucie.

-Moi aussi.

-Bon mais il y a de quoi s’endormir. Je vais vous raconter mon histoire sans les détails ; alors, mon plus profond souvenir remonte à mes deux ans. Le jour de mon anniversaire je me souviens de mon gâteau. Une grande pièce montée. Je… je… maintenant que je sais que Caroline et Jack ne sont plus mes vrais parents je revois aussi une femme et un homme qui m’acclament et me disent qu’ils m’aiment et qu’ils m’aimeront toujours et que je suis à jamais la fille adorée. Et… et … et je crois que ce sont mes vrais parents. Enfin bon passons. Ensuite je suis rentrée à l’école. Les années se passent dans l’insouciance de la jeunesse qui lui est dû. Quelques chamailleries mémorables mais pas de quoi en faire un plat.  Après plus mémorables, mon entrée au collège puis le fait que je saute une classe en sixième ; je passe en cinquième. À la rentrée de la seconde : alors que j’imaginais mais parents dans un monde très semblable à celui-ci, ils disparaissent. Je garde en souvenir ce monde inexistant et le recréé

Lucie n’u jamais de réponse car ces amies c’étaient endormies. À ce moment Hibiscus entra en contact avec elle :

« Moi je dors où ?? »

« Avec moi, non ? »

« Non car dans un mois ma taille ce sera décuplée. »

Alors Lucie dit :

-Iòlärignòca.

« C’est bon vas-y. »

« Merci Lucie. »

Le pégase s’envola sur le haut du baldaquin et elle et Lucie s’endormirent tout de suite.

Le lendemain il était près de dix heures lorsque la jeune fille et Hibiscus se réveillèrent.

-Ah vous voilà tout de même, se moqua Jack, on commençait à s’inquiéter. Hi, hi, hi, hi, hi.

-Oui, oui très drôle mais moi j’ai faim, s’emporta Lucie.

« Et moi aussi » tonna Hibiscus.

-Au petit déjeuner il y a du portolonma et,…, commença Enzo.

-Merci je prendrai de ça, trancha Lucie.

-Mais tu ne  connais pas, tu es folle laisse-toi conseiller ! s’écria Paul.

-Mais je crois connaitre alors laisse-moi faire O.K. ? l’interrompit Lucie.

Elle en prit un bout. À première vue cela ressemblait à un gros fromage mou mais, Lucie savait que ce n’était pas ça. Elle mordit dedans et reconnut le goût. C’était épicé et fruité, cela donnait une sensation de chaud et de froid en même temps puis vous plongeait dans un immense bonheur.

-J’en ai déjà mangé, lâcha Lucie.

-Quoi ? Tu perds la boule ma vieille, s’écria Lukas. Cela n’existe pas dans notre monde.

-Primo je ne suis pas ta vieille, explosa Lucie. Deuxio j’ai la certitude d’être déjà venue ici et Tertio ferme ta braguette, idiot !! Et puis comment étaient mes parents ?

-Mince ma braguette, dit Lukas.

-Ton père, intervint Caroline, était grand, avec les cheveux très noirs et la peau très blanche. Il était fort, belliqueux et stratégique. Ces yeux étaient…

-Verts, continua Lucie sans s’en rendre compte.

-Co… comment le sais-tu ?? Demanda Camille.

-Je les vois dans mes souvenirs…, expliqua Lucie.

-Ta mère, décrivit Jack, se nommait Lisa. Elle était blonde avec les yeux bleus et puis mince. Et elle était très autoritaire.

En cet instant on frappa. Eragon alla ouvrir l’air effrayé ; qui aurait pu trouver leur cachette ? Lorsqu’il ouvrit la  porte il découvrit une femme.

-Bonjour, j’ai cru comprendre que ma fille se trouvait ici. Je me présente ; Lisa.

On aurait dit que Lucie allait tomber dans pommes ; la femme qui était dans l’encadrement de la porte était mince, blonde et possédait de grands yeux bleus.

-Oui maman, lâcha finalement Lucie, Oui

Aussitôt, elles se jetèrent l’une dans les bras de l’autre et s’étreignirent longuement.

-Dix ans c’était trop, chuchota Lisa.

-Oui
beaucoup trop, répéta Lucie.

Puis elles se relâchèrent et la jeune fille demanda :

-Et… papa ?

-Ton père, est allé du mauvais côté ; il s’est laissé entrainer.  Pourquoi Piton Flamme ??? demanda-t-elle au ciel.

-Lucie fille de Piton Flamme, je ne peux y croire. Il se ressemble si peu. dit Caroline.

-Sauf la peau et le point de caractère ‘‘courage’’.

« Elle est meilleure que lui de toute façon. » lâcha Hibiscus.

« Te voici donc Hibiscus, veille bien sur ma fille. De toute façon je vais vous entrainer. »

-Et quand commencera l’entrainement ?demanda Lucie.

-Demain à neuf heures et il en sera ainsi tous les matins, répondit Lisa, l’après-midi cartier libre et aujourd’hui aussi !

-Merci maman, aujourd’hui je vais visiter la ville vous venez tous d’ailleurs !! Nous aurons de très bon guide ! Mais une dernière chose ; pourquoi papa me recherche-t-il ??Voulut savoir Lucie.

-Car il te veut dans son camp ; si tu es de l’autre côté tu es une menace pour lui… L’avantage : il ne sait pas que tu es une pégasière…, répondit Lisa.

Alors Lucie monta dans sa chambre et remarqua que la maison entière était magique et apparemment elle l’aimait bien car sa chambre fût décorée de fleurs à l’instant où elle y entra. Mais elle ne se doutait pas que plus bas Eragon venait de le demander à la maison. Il ne voulait pas l’avouer mais il avait certainement  quelques petits sentiments pour la jeune fille. Mais, si pour l’instant la jeune fille n’en avait pas pour lui il ferait tout pour se faire remarquer à ses yeux…

Un peu plus tard, ils étaient en selle sur de ravissent chevaux que leur avaient apporté  Lisa.

Lorsqu’ils arrivèrent à Flamarstas, Lucie fila s’acheter une épée. Elle s’entraina longuement contre Camille qui faisait office de grande sœur à la jeune fille. Puis il y eu un grand bruit comme un coup de tonnerre et des tas de soldats arrivèrent. Lucie et ses amis commencèrent à se battre.

Un soldat tonna alors :

-Lucie, notre maitre Piton Flamme respecté de tous t’ordonne de te rendre sinon nous tuerons tes amis jusqu’au dernier !

-Grrrr ! Comme je ne suis pas encore assez forte pour lutter contre vous je vais me rendre! De toute façon un jour je vous tuerai tous! Et puis, c’est d’accord mais; je voudrais ajouter quelque chose ! Votre maitre n’est pas respecté de tous ; il y a moi qui ne le respecte pas ! Mais s’il le faut je me rendrai ! Je donne juste un paquet à mon ami !

Elle prit Hibiscus qui était resté dans sa poche le  mit dans son mouchoir et le donna à Lukas et lui murmurant :

-Ne le montre qu’à Camille, Eragon, Enzo, Charlène et Paul.

Puis elle tendit les mains pour se faire mettre les menottes. Elle se les fit accrocher si serrer que sa peau saignait. Puis elle monta dans la charrette des gardes et se coucha. Au bout de dix minutes ni tenant plus, elle s’endormit. Elle savait que cela pouvait s’avérer dangereux mais elle ne pouvait pas lutte contre la fatigue.  Deux heures plus tard elle se réveilla, en prisons mains détachées sur un lit de camp. Elle se trouvait seule mais bientôt un garde partit avertir une personne qu’elle était réveillée. Aussitôt elle sentit un drôle de contact. Hibiscus!

« Ah ! Enfin réveillée marmotte ! »

« Oh j’ai eu si peur que tu ne me trouve pas !  Comment vont les autres ? »

« Tout le monde vas bien. Mais, Lisa, Caroline et Jack veulent savoir ce que tu as donnée as Lukas. »

« Attends un garde revient !! »

« Fais-attention à toi… »

« Le garde n’est pas seul ! Va-t’en 

Alors la porte du cachot s’ouvrit et deux hommes entrèrent. Lucie reconnut le garde mais se demanda qui était le second. Ce dernier était noir, yeux bleu, très grand, avait des cheveux noirs et il avait un petit nez. Il avait l’air très sympathique.

-Capitaine Slark, dit l’inconnu, voulez-vous sortir s’il vous plait.

-Oui comandant, s’écria l’officier.

Et en se tournant vers Lucie le commandant murmura :

-Je vais vous aider à vous enfuir. Mais à une condition.

-Laquelle? Susurra la jeune fille.

-Vous m’emmènerez avec vous.

-D’accord, mais une chose je vais vous faire jurer par le serment décompositoire que vous ne me trahirai pas ni moi ni mes amis. Il vous suffira de dire ‘‘Je jure sur ma stabilité que je ne trahirais pas Lucie et ses amis ’’. À vous.

-Je jure sur ma stabilité que je ne trahirai pas Lucie et ses amis, répéta le commandant. Mais que se passera-t-il si je vous trahi ?

-Vous vous décomposerez mais vous souffrirez horriblement d’abord. répondit Lucie avec sourire malicieux, comme c’était naturel.

-Au fait je m’appelle Youness. Youness Mistarolo. Toi c’est Lucie si je ne me trompe pas…

Lucie  approuva d’un signe de tête en désignant la porte du doigt. Alors Youness sorti la main sur bouche et dit  au capitaine Slark :

-Mon cher capitaine je vous offre un petit cognac C’est du cognac d’il y a vingt hiver!

-Eh bien c’est parti… Un petit cognac cela ne se refuse pas. A la santé de Piton Flamme dans la ville à cet instant !!!

Et le garde but son verre sans se doutait que Youness avait versait quelque chose dedans. Quelque seconde plus tard, le garde gisait sur le sol, endormit.

-Tu as entendu ? Piton Flamme est dans la ville… Dépêchons-nous!

-De toute façon, répondit Lucie en se relevant je dois le rencontrer un jour tel est mon destin. Alors pourquoi retarder ce jour ? Mais attend un peu…

Elle contacta Hibiscus :

« Vous êtes où ? On a besoin de renfort à Flamarstas ! Prenez le plus de gens avec vous ! »

« D’ac ma vieille ! »

« Lukas ! C’est sérieux ! Mon père est avec eux ! »

« Ah…Oui… O.-K. J’y vais ! »

-Bon allons-y Youness, souffla Lucie que la conversation mentale avait épuisée, j’ai prévenue des amis.

Elle voulut se lever sans grand succès. Youness se précipita pour l’aider. Il la souleva et l’aida à marcher.

-Que ce passe-t-il Lucie ?

-Je… C’est la conversation mentale…

-Restons là un moment ! Si le commandant Goichot me trouve je vais me faire tuer !

-Pourquoi ? Il veut que tu l’emmène c’est ça ? Lui aurais-tu promis par hasard ?

-Oui, avoua Youness un peu gêné, je vais le cherché si tu veux bien… je lui ferai jurer d’abord !

Il partit donc et se dit : « Lucie est vraiment super. Elle est intelligente, sympathique, douce et elle est très jolie ! Et autoriser une personne qu’elle ne connait pas à se joindre à elle… Ah ! Me voici arrivé ! »

Il frappa à la porte du bure au du commandant Goichot et ouvrit. Le commandant était à ses affaires (impôts, peine des prisonniers…).

-Alors commandant ; comment va ? Faudrait que j’t’parle tout de suite ! Affaire urgente!

Ils allèrent dans un parloir et Youness dit :

-J’ai trouvé le moyen de m’en aller ! Si tu veux partir avec moi tu dois répéter après moi : « je jure sur ma stabilité que je ne trahirai pas Lucie et ses amis. »

-Je jure sur ma stabilité que je ne trahirai pas Lucie et ses amis ! répéta le commandant Loris Goichot, mais comment allons-nous sortir d’ici ???

-Je l’ai délivrée! Et elle veut bien m’aider! Je te parle de la prisonnière fétiche !! Tu sais celle qui est arrivée ce matin !

-O.-K. ; allons-y !

Alors ils se mirent à courir le long du couloir, ouvrir la porte du bureau de Youness et quelle ne fut pas leur stupeur quand il découvrir que Lucie ni était pas ! Ils s’approchèrent et virent qu’un petit mot sur la table de travail du jeune garçon; il disait ceci :

Cher  Youness,

Désolée si je t’ai fait peur en étant plus dans ton Bureau mais je suis partie devant. Je suis sûre de trouver la sortie car je sais où je dois aller ! Rejoins-moi avec ton ami à la sortie sud car je crois que j’aurais rapidement besoin de renfortJ.  Mes amis ne devraient tarder à arriver ! Dépêche-toi je t’attends!

Désolée encore,

Lucie !

 

-Si elle est comme ça tous les jours eh bien on est mal! s’écria Youness en riant.

Et tous les deux entendant des bruits de métal qui s’entrechoquent se mirent à courir comme des fous. Devant l’entrée sud on aurait pu prendre un bain tellement il y avait de sang. Ils remarquèrent que douze soldats étaient morts et que huit autres étaient blessés ou en très mauvais état. Ils remarquèrent la personne qui faisait tout ce tapage et virent que ce n’était autre que Lucie et puis avec moins de satisfaction qu’elle était grièvement blessée au bras. Alors dans un murmure, Lucie dit :

-Raskämistira.

Alors tous les soldats tombèrent comme des mouches mais Lucie était toujours blessée ! Les deux jeunes hommes se précipitèrent vers elle avant qu’elle ne s’écroule.

-Ne la touchez pas, s’écria un homme. Qui êtes-vous?

-Nous sommes ses sauveurs ! Et vous ? répondit sauvagement Youness.

-Hey ! Vous vous sentez bien ? Besoin d’une aspirine ?? Eux c’est Youness et Loris. Et eux c’est Lisa, Camille, Charlène, Caroline, Paul, Jack. Et Youness m’a sauvé la vie en m’ouvrant la porte de ma cellule ! Maintenant pourriez-vous m’aidez à me relever je vais avoir un peu de mal.

-Moui… un peu beaucoup… pouffa Lukas.

Eragon, Youness, Camille et Caroline ce précipitèrent pour l’aider. Les deux filles par amitié et les deux garçons par amour. Alors, dès le premier regard, Eragon et Youness trouvèrent l’un en l’autre un rival. Mais, ce fût Youness et Camille qui aidèrent la pégasière. Eragon se sentant mis à l’écart, recula vers Charlène et Lukas pour discuter et devant une petite boutique s’arrêta, poussa la porte, et entra. Cette petite boutique s’appelait « Le tout et rien ». Eragon fit la queue arrive au comptoir et dit :

-Mon vieux Rioqua, j’aurais besoin de d’articles spéciaux.

-Eragon ?? demanda le vieil  homme. Toi ? Je n’y crois pas ! Oui, bon !! Que te faut-il ?

-Il me faudrait l’amour en boîte, trente-huit câlins gros si possibles,  quelques flacons de chances, de l’invisibilité en poudre, un peu de guérison et des provisions. Ah, et aussi du moral !

-OK ! Et pour avoir tant acheté tu gagnes de la jeunesse ! Seize galines et vingt-trois cliqus ! Repasse dès que tu as besoin de quoi que ce soit.

-Merci Rioqua ! s’écria Eragon.

Il sortit courut et rattrapa le petit convoi. En voyant leur ami arriver ils demandèrent tous :

-Où étais-tu ?

-J’ai fait quelques course ! répondait-il malicieusement.

Lucie qui était maligne rentra dans l’esprit du jeune homme sans se faire remarquer et retrouva toute la scène. Ils se remirent rapidement en marche et en peu de temps ils arrivèrent à la cabane mais par une autre entrée ; ils tirèrent sur une racine et un passage s’ouvrit. Eragon s’approcha avec la guérison (une pâte noire et épaisse) et l’étala sur la blessure de Lucie.  Bientôt il n’y eu plus rien. Fatiguée, elle alla bientôt se coucher car malgré la guérison, la jeune fille était encore pâle. Le lendemain, la jeune fille sortit et se mit à chanter. Alors sa mère biologique la rejoint et ensemble elles firent pousser de magnifiques roses de la branche qui soutenait la cabane. Mais elle ne remarqua pas que quelques heure plus tard il n’y en avait plus une seule. Le soir elle alla se coucher comme d’habitude mais sans Camille ni Charlène car la maison avait grandie car elle obéissait au souhait d’Eragon. La semaine suivante à son lever elle écrasa la petite Hibiscus enfin, petite car sa taille n’avait ‘‘que’’ tripler. Plus tard, la jeune fille reçu un bouquet de roses blanches, rouges, roses, saumon, roses de thé…Elle ne se rendit pas compte que c’était les fleurs qu’elle avait fait naitre avec sa mère. Peu de temps après elle remarque une carte. Elle disait ceci :

J’espère  que ses roses vous plairons car elles viennent de mon cœur. Moi qui vous vois tous les jours, je vous aime  à la folie !!!!

Signé :

Votre plus fervent admirateur !

 

C’était Youness qui avait écrit cette lettre. Il espérait deux choses ; primo que les sentiments de Lucie sois fort pour lui et secundo qu’elle le montrerait à tout le monde. Mais, revenons à la jeune fille. Elle avait décidé de mener sa propre enquête.

« Quel garçon me voit tous les jours ? Il y a Paul, Jack, Eragon, Enzo, Loris et Youness. Paul et Jack sont trop grands et Enzo ne s’intéressent pas à moi. Il reste donc Youness, Loris et Eragon. »

Tel était son jugement. Mais la pensée de savoir lequel de ces trois garçon lui tournait autour la mettait mal à l’aise. Elle envoya donc Caroline demander au trois garçons d’écrire leurs prénoms sur une feuille de papier. Mais elle ne dit pas à sa mère adoptive pourquoi. Quand la mère revint on pouvait lire sur un parchemin ;

  Youness

   Loris

  Eragon

Lucie compara les écritures et se rendit compte que c’était celle de Youness correspondait le mieux. La jeune fille ne savait plus où donner de la tête. Elle décida de consulter Hibiscus :

« Que mon conseillerai-tu ? »

«  Tu lui dis que tu l’aime. »

«  Oui tu à raison ! Je vais lui écrire! »

« Non ! Tu lui dis en face. Tu n’es plus une enfant qui se cache derrière le papier ! » Répliqua férocement Hibiscus.

Sur ces mots, Lucie sortit et se dirigea vers la chambre de Youness. En arrivant devant la porte, elle entendit :

-Comment tu ferais toi pour dire ça à une fille ?!

- Je ne lui dirai en face, point. Qu’y trouve tu de difficile Youness ?

-Enzo ! C’est de Lucie dont je te parle! C’est une fille très spéciale ! Elle est exceptionnelle !

Alors, Enzo rentra dans l’esprit de Lucie et dit :

« À toi de jouer ! Tu rentres alors que tu es en  fureur. »

La jeune femme ouvrit la porte en utilisant son pouvoir et hurla :

-      Je lui dirai en face !!

-Je,… Lucie ??

-QUOI ??

-Je, je…

Il prit Lucie par les épaules tout en continuant de bégayer ses ‘‘Je,… Je,…’’ il finit par se rendre compte qu’il ne dirait pas ‘‘Je t’aime’’ et il l’embrassa sur la bouche elle était surprise et ne l’embrassa pas. Puis, après qu’il l’eut repoussée elle lui sauta au coup et l’embrassa fougueusement. Il lui rendit son baiser.

Lorsque Lucie se dégagea, le plus doucement du monde, Enzo ouvrait de grands yeux et  sa mâchoire était décrochée.

-Eh ben, ça s’était du grand spectacle.

Un grand sourire étira les lèvres si fines de Youness. Lucie se laissa aller d’un grand éclat de rire.

-Il faut que je raconte ça à Eragon !

Lucie voulut le retenir sentant la catastrophe arriver mais son jeune amoureux le retint et l’attira tout contre son torse. C’était si bon. La jeune fille en oublia tout et même ses attentions de retenir Eragon.

Deux heures plus tard, à l’heure du diner, Lucie vit qu’Eragon cachait quelque chose. À la fin du repas, il dit :

-C’est beau l’amour. N’est-ce pas Lucie ?

-Qu’y trouves-tu de mal ? Hoqueta-t-elle voyant venir le pire.

-C’est moins beau qu’en un pote à soi qui t’aimais qui plus est se fait raconter toute la scène. Et qu’en plus, cet  ‘‘ami’’ qui se voit laissé te trahi et rejoins ton pire ennemi. Je te hais Youness. Je t’adore Lucie.

Alors il sauta sur son cheval qui s’était posté sous la fenêtre selon les désirs de son maitre en hurlant comme un dément :

-Je le rejoins ! Vous ne méritez pas mieux ! Un jour ma belle, tu seras à moi ma belle. Tu m’appartiendras toute entière et à moi et rien qu’à moi ! Et vous tous mourez. Vous tomberez morts comme des mouches.

Comme il en avait vraiment assez et que sa démence avait fait surface une nouvelle fois, plus brulante que jamais il sortit un petit poignard de sa poche.

-Voici la première de ses insectes insignifiants.

Il lança son arme et se mit à rire, d’un rire étrangement pur pour celui d’un traitre. Un petit ‘‘Tchac ’’ retentit lorsque l’arme, rapide et puissante, s’enfonça dans le torse de Loris. 

 

 

 

Voici Voila! Vous me direz ce que vous en pensez!

                                                                                               Haricot!

25 septembre 2013

Un poème de ma souffrance

Voici un poème que j'ai fait lorsque je souffrais (ce que je fais en permanance). Ce n'en ai pas vraiment un mais voila.

Souffrir. S'y abandonner. Se détruire. Tenter une rébellion.

J'avais perdu la guerre.

Je devais m’exiler.

Sinon, je perdrais ma meilleure alliée.
La vie.

Mes camarades ne semblent pas le remarquer.

Il est vrai que j’ai appris à souffrir en silence.

La bataille doit reprendre.

Une longue sonnerie de cloche interrompt le cours.

Mon crâne va exploser.

A l’évidence, je suis SEULE.

Un mot tabou ces derniers jours.

La souffrance ne me quitte plus.

Je suis la souffrance.

La vôtre. La sienne.

Je suis SEULE

Personne ne me comprend.

SEULE.

Et amoureuse.

 

Au fait, c'est le début d'une nouvelle!

25 septembre 2013

La Mistinguette Vous connaissez? :D

Je vais bientôt poster une interview. Une interview. De La Minstinguette. C'est une grande écrivaine. Et une grande amie.

Je l'adore.

A la prochaine!

Votre Haricot!

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23 septembre 2013

Et lorsque l'on souffre?

Aidez moi. 

Ceci est mon premier appel à l'aide et ne sera surment pas le dernier.

 En ce moment je me sens tout le temps seule.

Il n'y a que la solitude et ma vie torturée qui me tienne compagnie.

S'il vous plait, Aidez moi.

Réconfortez moi.

J'ai un peu besoin d'aide....

22 septembre 2013

Ma zic (Ière suggestion)

Moi si j'ai bien une chose à vous suggèrez c'est Woodkid. Ces chansons sont magnifiques. Sa voix est enjoleuse. S'il y a bien un dieu qui existe c'est LUI! Il n'est pas comme tout les autres chanteurs, il ne fait pas du "Je t'aime alors s'il te plait aime moi parce que si tu m'aimes pas je serai triste ect.!" Alors allez l'écoutez Please!

19 septembre 2013

Mon tout petit blog!

Moi c'est votre haricot! 

Sur ce petit blog, je vais vous faire plein de conseil littéraire, musicaux, je posterai mes texte, des recettes parfois, ect! 

Je vous demanderais parfois votre avis et plein de petites choses conseillez moi! Aidez-moi dans ma petite vie et je vous donnerais.... Un comcombre atomique dédicacé!

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